De l’entre-soi bobo à une timide « diversité » : désormais, des chaînes de télé invitent des chroniqueurs de droite – à juste titre. Cependant leurs propos m’agacent parfois, tant ils râlent sans fin…
« Ah lala… avant, c’était quand même mieux… les Woke… Les pitreries du « genre » ! etc. Or, chers amis, récriminer est stérile ; pour preuve, cette citation limpide de Martin Heidegger : « Qui agit réactivement pose d’abord ce à quoi ensuite il s’oppose, restant donc tributaire de ce qu’il croit avoir révoqué » (Beiträge zur Philosophie).
Outre ronchonner, que faire donc devant la claire incapacité du trio Macron-Darmanin-Dupond- Moretti à résorber ce désordre qui gagne la France ? Que faire devant tant d’allogènes criminalisés, de pillards et d’émeutiers ; devant des quartiers livrés aux trafics et à la chasse aux flics ? Que faire pour que ces dépossédés dont Christophe Guilluy parle si savamment dans son récent livre éponyme, retrouvent la paix sociale due par l’État de droit ? Comment fustiger une infosphère (caste hybride, gouvernants-médias asservis) qui, de négation en moralisme – ne sait plus que dénigrer ou disqualifier les contempteurs du crime ?
D’abord et avant tout, appliquer les fondamentaux suivants :
1°) Désintoxiquer l’appareil régalien
2 – Réaliser et publier un diagnostic détaillé sur les criminels actifs en France
3 – Ce diagnostic posé, confier la politique régalienne à des ministres décents,
4°) Réserver la sollicitude de l’État-nation aux victimes du crime
5°) Dans l’appareil police-gendarmerie, susciter un outil de renseignement criminel,
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