Opéré sans douceur, le récent déménagement d’un campement de nomades par les résidents d’une cité marseillaise (pour beaucoup issus de l’immigration…) n’est peut être que le premier épisode d’accrochages plus violents encore, entre sédentaires exaspérés et « gens du voyage ». A l’origine du coup de semonce, l’incapacité des instances politiques, européennes et françaises, mais aussi de nombre des médias, à réaliser les faits ci-après exposés ; de les occulter comme s’ils n’existaient pas ou étaient sans importance. Or ces faits sont cruciaux et les négliger ne peut qu’aggraver encore une situation déjà explosive.
1 – Tous les nomades en cause, Roms, Tsiganes, Gitans, etc. sont d’impeccables indo-européens et donc, sont chez eux en Europe – la seule différence entre eux et les européens sédentaires étant, justement, leur nomadisme, ou de hasardeuses implantations fixes ici ou là en Europe.