Régulièrement, avec une méritoire constance, la Cour des comptes épingle, dénonce, étrille, carbonise, le durable et criminogène monstre nommé « Politique de la ville » – en clair, la panoplie des ruineuses mesures servant à visser le couvercle de la marmite criminelle sur les zones hors-contrôle périurbaines. 2007… 2012…. 2016… 2019… 2020…. ajoutons-y les rapports des cours régionales des comptes : on en remplit une armoire.
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