Depuis la nuit des temps, les catastrophes, désastres et calamités frappant l’humanité ; naturels (séismes, tsunamis) ; humains (guerres) ; affectaient forcément le monde physique, pour la parfaite raison que c’était le seul. Or depuis vingt ans désormais – les criminologues, étudiant les deux univers, le savent trop bien – les pannes géantes, le crime, l’espionnage, le sabotage, etc., touchent toujours plus le cybermonde. Ils ont en commun les ravages de terribles virus : COVID-19 (registre biologique) et virus-pirates (numérique).
Exemple : la grave et méconnue cyber-attaque ayant dévasté, la nuit du vendredi 13 (!) mars, les serveurs de Marseille (ville, communauté urbaine et alentours).