Lors du déclin puis de l’agonie de l’Union soviétique, les effluves toxiques de ce grand malade empoisonnèrent l’Europe d’abord, puis le monde : léninisme putréfié (« anti-impérialisme ») ; symptôme d’un retour en enfance et gâtisme agonique : idéologie proto-terroriste « communiste- combattante » (Brigades rouges, etc.) ; enfin « transparence »- Glasnost.
Aujourd’hui – mêmes causes, mêmes effets – des émanations toxiques, débris d’une French theory massacrée par une néo-inquisition, nous viennent d’États-Unis en dégénérescence – au moins, sociétale. Lors d’une réunion du secrétariat du Comité central du PCUS, dit-on, un dirigeant soviétique annonce qu' »il y a un problème ». Sur quoi un Staline glacial répond « En général, les problèmes ont un prénom et un nom ». Ambiance. Aujourd’hui, la nouvelle toxine idéologique vient de Californie.
Son foyer original a un nom : Silicon valley ; à son pouvoir de propager et d’infecter, nous donnons celui de peste californienne.
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