Copinant toujours avec les mêmes sociologues gauchistes (pardon du pléonasme…) les médias du système ne comprennent plus rien aux sciences criminelles ; notamment, au évolutions du nombre des homicides dans notre pays.
Une affaire finalement simple, si l’on observe le champ large de ce qui, dans une société,
provoque ou empêche la mort : tel est ici, pour user d’un précieux concept philosophique, le
« champ préalable d’inspection ».
Précisons les homicides ici évoqués car en la matière, tout n’est pas pertinent : « pour voler, lors d’un vol ou autre motif »… règlement de compte entre malfaiteurs »… « Coups et blessures ayant entraîné la mort »… « Homicide sur mineur de 15 ans ».
Quelle est alors la variable décisive, s’agissant des taux d’homicides en France, ce dernier demi-siècle ?
Cette variable n’est pas criminologique mais médicale, et concerne la médecine d’urgence, sa création, ses expérimentations et sa généralisation en France, dans les décennies 1960 et 1970. SAMU (Service d’aide médicale urgente)… SMUR (Services mobiles d’urgence et de réanimation)… médecine hospitalière d’urgence :