PARTOUT dans le monde développé, la criminalité baisse, voire s’effondre, depuis dix ans. Une phénomène social si frappant qu’en juillet 2013, le pourtant fort libéral hebdomadaire The Economist lui consacre une significative couverture : « Falling crime – where have all the burglars gone ? » Partout sauf en France bien sûr, où les crimes les plus pénibles pour la population – cambriolages, pillages des campagnes, vols avec violences, guerre de gangs, etc. – augmentent toujours. Face à quoi, un gouvernement éperdu balaie comme il le peut la poussière sous le tapis en présentant comme des baisses, de simples déplacements de l’activité criminelle, survenant au rythme de ponctuels saupoudrages policiers. On « met du bleu » à Marseille ? Les bandits et dealers transfèrent un temps leurs activités ailleurs dans les banlieues de la ville, ou dans le département. Pour camoufler le réel criminel, le gouvernement socialiste compte aussi sur divers outils médiatiques de propagande, des quotidiens d’ailleurs grassement subventionnés à cet effet.
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