Les criminologues connaissent les criminels ; les bobo-journalistes et autres « sociologues critiques » n’ont en tête qu’une fumeuse propagande, dont le « paradis » s’effondre sous nos yeux, aussi brutalement qu’une paroi rocheuse en Maurienne. Les criminels ayant anéanti leurs songes creux, les bobo-médias en sont réduits à camoufler ces nouvelles, pour eux bien pénibles.
Lecteurs : ne cherchez pas les informations qui suivent dans ces médias, désormais condamnés à censurer ces malséantes informations.
• Les si sympas « coffee-shops » d’Amsterdam, Une femme ! Issue « de la diversité » ! La nouvelle ministre de l’intérieur des Pays-Bas porte de fait un nom turc. Qui connaît la Turquie sait que – loin de la culture du harem – des femmes y exercent fermement des fonctions majeures. Or côté drogue, la ministre turco-néerlandaise n’y va pas de main morte : « Nous sommes chaque jour confrontés à un crime organisé dévastateur… Notre société et notre économie sont corrompues… Ceux qui combattent le crime ne peuvent plus vivre sans protection… Nous devons serrer le poing et agir avec force ».
• Copenhague, son gentil quartier hippie-anar-autogéré – « Christiania, ex-paradis hippie de Copenhague, supplie les autorités de fermer ce haut-lieu du trafic de drogue, après une fusillade mortelle ». Partout et toujours, un espace laissé aux toxicomanes attire des narcos qui ensuite, s’entretuent pour y contrôler le trafic. La tolérance et Peace and love d’abord, puis les tueries. On sait ça au moins depuis le Platzspitz Park de Zürich, en 1987. Pourquoi est-ce fatal ?
Loin du galimatias gauchiste, la vraie sociologie décrit des entités humaines régies par la terreur interne : partis totalitaires, gangs, etc. Dans ces groupes, le caïd dirige la meute tant qu’il la gorge ; si ça baisse, il est éliminé pour un autre plus féroce. On le lit même dans le Livre de la Jungle, ou le tigre Shere Khan tue le loup-alpha Akela (« Le Solitaire » en Hindi) et prend la tête de la meute. Chacun sait ça – sauf les bobo-journalistes et les « progressistes » qui, à chacune de ces tentatives idiotes, crient au miracle de paix et d’amour, jusqu’à la fatale débâcle.