ALLEMAGNE en tête, l’Europe du nord dispose de vrais écologistes, sincèrement attachés à protéger la nature et leurs compatriotes des effets négatifs d’industries cravachées par des financiers-vampires. En France hélas, nos écolos sont plutôt des gauchistes déguisés, ayant pigé qu’à suivre Mme Laguiller & co., ils croupiraient pour toujours à l’état de groupuscules, privés de prébendes, emplois juteux et copinage avec le gratin « progressiste » occidental.
Dirigeant désormais des villes, ces écolos-gauchos méprisent bien sûr le régalien, la sécurité et les appels au secours d’une population livrée à l’insécurité. Récent cas d’espèce, le couvre-feu nocturne qu’ils imposent à des villes grandes ou moyennes, du fait de la crise énergétique provoquée par la guerre Russie-Ukraine.
Le ministère de l’Intérieur a-t-il prévu les retombées criminelles que subiraient ces villes plongées dans la nuit ? Non. Peu capable d’anticiper, sans outil proactif efficace, l’Intérieur voit tard et lentement venir les crises criminelles ; ajoutons-y sa notoire tendance à camoufler les mauvais chiffres : à l’instant, l’Intérieur ne voit pas enfler une vague de cambriolages – que notre base documentaire criminologique perçoit déjà, elle, et qui s’annonce forte.