Depuis un an – un peu seul, à vrai dire – je m’évertue à écrire que l’hystérie médiatico-politique sur les aller-retours de jihadis au Moyenorient est infondée. Que le vrai péril provient de noyaux d’individus souvent instables, agissant ici même, hors de toute organisation formelle et sans impulsions externes particulières.
Voici un extrait d’un entretien donné début janvier à Pascal Boniface, de l’IRIS