Trois mensonges de l’Intérieur :
Mensonge N°1
Les blessés des guerres de gangs décomptés en « violences physiques noncrapuleuses » ou « violences gratuites » – Hors des homicides, l’Intérieur décompte les blessés même graves ou mourants, de ces batailles, comme « violences physiques non-crapuleuses » ou « violences gratuites », moyen facile de délester l’inquiétant poste statistique des violence entre bandes criminelles. Or ce classement est un total non-sens : rien de plus stratégique et prémédité que ces batailles dont l’objet – fort « crapuleux » et pas du tout « gratuit », est d’usage d’assurer