Depuis le carnage de Nice, le ministre de l’Intérieur multiplie les interventions arrogantes, visant à l’exonérer, lui et le chef du renseignement intérieur, de toute responsabilité dans ce drame : « un attentat de type nouveau… une radicalisation très rapide… Il n’y a pas de faille ». Le tout sur fond d’un plutôt pathétique fatalisme, « Le risque zéro n’existe pas… Autant s’habituer à vivre avec le terrorisme ». Or aujourd’hui, « Atlantico » est en mesure de révéler que tout cela est faux et mensonger. Et il en apporte la preuve.