PRENONS l’affaire à sa source. Les sociétés nordiques-scandinaves reposent sur les notions luthériennes d’honnêteté et de charité, bien sûr parfaites en soi. Or en 2015, face à une masse de migrants-réfugiés issus du Moyen-Orient, aux valeurs dominantes d’honneur et de vengeance, un mélange détonnant s’amorce et explose vite. À Malmö, les Suédois pensent accueillir des sortes de Danois, en un peu plus brun ; les arrivants, en mode loup dans la bergerie, voient des femmes et jeunes filles locales type-prostituées et leurs hommes, en gogos ou esclaves se laissant piller-molester sans réagir, au nom de la culture de l’excuse.
Dix ans que ça dure. Résultat : une Suède à feu et à sang, attentats à la grenade, rafales de kalach’ … Gangs kurdes contre Soudanais, Kosovars ou Somaliens… Une police-Bisounours… Une justice 100% prévention, 0% répression : un désastre à 100% made in Sweden. Notons qu’en 2016, nos médias d’information dénoncent férocement ceux qui annoncent le drame… Le cinéma usuel : agiter les peurs… racisme… oiseaux de malheur… Bien sûr, ces médias sont les complices objectifs du présent chaos. Attendons qu’ils se repentent…
Cette situation pourrait-elle arriver en France ? Notre pays doit-il tirer des leçons de l’expérience suédoise pour s’en prémunir ? Disposons-nous d’assez de moyens dans la justice, la police, et les prisons pour lutter efficacement contre l’emprise des gangs et endiguer la hausse de la criminalité ; quelles seraient les mesures à prendre pour éviter un tel scénario ?
