Les soubresauts Black Lives Matter de l’été 2020 sont loin d’être les premiers éprouvés par les États-Unis, navire sans quille, arbre sans racines. Mais quoiqu’effarantes, ces récentes crises de dinguerie sont occultées par le soft power US, car donnant une image ravageuse de leur pays. Il faut cependant connaître ces épisodes épileptiques, qui n’affectent pas un pays parmi d’autres, mais la première puissance financière – et surtout militaire, mondiale.
Black Lives Matter : carnage raciste, vraiment ?
En moyenne, de 2014 à 2019, ± 7 400 jeunes Noirs de 15 à 24 ans sont assassinés PAR AN, à 90% par d’autres Noirs des mêmes âges, lors de batailles de gangs.
États-Unis entiers : Noirs désarmés tués par la police janvier-juin 2020 : 8 (Blancs, 11).
Pourcentage des Noirs assassinés, l’ayant été par la police, janvier-juin 2020 : 0,2%.
Source : un collègue de George Mason University, directeur au National Institute of Justice, think-tank du Ministère de la Justice, Washington DC (producteur des statistiques criminelles fédérales U. S.).