Suite à des rumeurs sur des rapts d’enfants en Seine Saint Denis par des Roms en véhicule blanc, plusieurs agressions sont advenues à Bobigny et Clichy-sous bois.
Résultat : une vingtaine d’interpellations. En quoi cela révèle-t-il l’incapacité de l’Etat à assurer l’ordre public, face à ces sortes de milices cherchant à se faire justice ?
D’abord dénonçons – pour en rire – l’absolue tétanie des médias dits d’information, incapables de nommer les agresseurs des Roms, devenus dans leurs articles d’inodores, incolores et sans saveur « personnes ». Pensez-donc ! Deux santons de leur crèche des « victimes de l’exclusion et du racisme » qui s’entretuent ! Trop loin du catéchisme sur les victimes des méchants (Blancs). Effondrant leur propagande « inclusive », cette situation les plonge dans l’aphasie, à grand renfort d’euphémismes-tisane comme ces fantomatiques « personnes ».
Or rien de ce qui est advenu aux Roms n’est exceptionnel. En janvier 2018 déjà, à Gargeslès- Gonesse (Val d’Oise) une meute issue de la cité de La Lutèce avait délogé sans douceur seize Roms squattant le pavillon d’un de leurs familiers. De tels actes abondent à la périphérie des villes. Notons qu’il faut ici distinguer les Gitans, ou Tziganes – eux sachant se défendre et plutôt rugueux – des Roms, plus adeptes du pleurnichage lamentable.
Notons que ces meutes des cités hors-contrôle n’en font pas plus contre les Roms que contre les policiers, gendarmes, (récemment à Grenoble, Toulouse, etc.) agents municipaux, postiers ou personnel des pompes funèbres. Régnant sur un territoire, ils y font régner leur ordre et en chassent quiconque leur déplait.