LE MEMOIRE du M.C.C. Quelques conseils à intégrer Quelques instructions à respecter Sommaire 2. ORGANISATION DE VOTRE TRAVAIL III.1. Format et taille du mémoire de DU III.2. Choix de la police de caractère Dans les grandes périodes de tensions, seuls nos travaux et nos écrits restent! Xavier RAUFER La réalisation de votre mémoire passe par plusieurs phases essentielles: C’est évidemment un point primordial de votre travail. Il n’est pas utile de vous précipiter, mais vous devez avoir une idée assez avancée vers fin décembre. Votre travail de recherche doit être une contribution pour le département des Menaces Criminelles Contemporaines. Son objectif est d’enrichir les domaines de compétence du MCC.Il s’agit donc d’étudier et de comprendre les problèmes criminels d’aujourd’hui afin de mieux appréhender ceux de demain. La vocation du MCC est tout d’abord de proposer une pensée universitaire basée sur la réalité des phénomènes et non un quelconque dogmatisme culturel. Ainsi, le MCC se veut, dans chacun de ses travaux, résolument tourné vers l’avenir. Par exemple, un travail de recherche sur les techniques des «Chauffeurs» du XIXème siècle n’est pas du domaine du MCC. Mais l’étude de l’importance et de la composition des nouvelles équipes de «saucissonneurs» (utilisant la même technique) ainsi que les possibilités de développement de cette criminalité (à quand les victimes chefs d’entreprises ou la prise en main de ces techniques par le Milieu; …) fait partie du domaine du MCC. Une démarche scientifique est impérative. Un «point de vue» subjectif ne nous intéresse pas et encore moins, le relais d’une idéologie dogmatique. Seul un avis, issu d’une réflexion personnelle au cours de votre travail scientifique de recherches, a sa place dans votre mémoire. En général, il est préférable que ce soit un sujet dont vous n’êtes pas déjà un(e) spécialiste incontournable. En effet, nous voulons vous forcer à vous défaire des thèses prêtes à penser. L’expérience a prouvé qu’il était plus facile de rechercher et développer un système scientifique de pensée sur un sujet non-maîtrisé que sur un sujet étudié quotidiennement. Vous êtes alors imbibé de réflexions et analyses que vous avez tendance à ne pas remettre en question et avez plus de difficultés à retrouver la nature brute des faits criminels. De votre sujet viendra le titre, et accessoirement le sous-titre. Inutile d’aller chercher des sujets emphatiques ou trop complexes. La simplicité et la sobriété sont souvent bonnes conseillères: Quelques mauvais exemples: Malgré tout, vous êtes libre d’aborder le sujet de votre choix, mais nous vous conseillons d’obtenir l’agrément de votre directeur de mémoire. Le titre doit être accrocheur. Le sous-titre doit souligner l’intérêt que le lecteur peut avoir de se plonger dans vos recherches. Les titres «chocs» peuvent également déplaire, même si, de votre point de vue, le titre synthétise à lui seul le contenu de vos recherches: Avant tout, faîtes vous un planning et fixez une «dead-line» de recherche. Sur tous les sujets, on pourrait prolonger indéfiniment sa soif d’informations. Une échéance raisonnable pourrait être le mois de juillet. Sachez délimiter précisément votre recherche, compte tenu de l’axe de travail que vous aurez choisi avec votre directeur de mémoire. N’accumulez pas pour accumuler. Quant aux sources: Il peut être utile de diffuser son sujet de mémoire auprès des étudiants de sa promotion ou des promotions passées. Ceux-ci auront sûrement des connaissances, des documents ou des idées susceptibles de vous faire avancer dans votre travail! Si vous avez l’occasion d’avoir des entretiens avec les personnes dont vous parlez dans votre mémoire, c’est un «plus» intéressant qui donnera probablement de la consistance à votre travail. En pratique, procédez par «fiche-cuisine». Par exemple, sur le trafic de cigarettes, faites une fiche sur les producteurs, une sur les contrebandes et autres fraudes douanières, et une autre sur les vols. Ces trois fiches sont insuffisantes mais vous ne le savez pas au début de vos recherches. Par la suite, vous diviserez en plusieurs fiches celle relative aux fraudes douanières, vous créerez une fiche sur la grosse affaire des dernières années, une sur l’implication des organisations criminelles transnationales (à la fin, vous aurez plusieurs fiches sur ce point! ), etc… En procédant ainsi, vous pourrez encadrer vos recherches, savoir quand vous avez assez d’informations sur un point, quand vous avez besoin qu’on vous aide sur un autre, etc… Une fois de plus, n’accumulez pas pour accumuler mais parce que vous n’avez pas suffisamment, selon vous, fait le tour du sujet. II.3. Concevoir le plan du mémoireN’attendez pas la fin de vos recherches pour présenter votre plan. Au fur et à mesure de l’avancement de vos travaux, et de votre angle de travail, vous aurez la possibilité de concevoir l’organisation de votre mémoire. Bâtissez un plan en 2 ou 3 grandes parties si possible, selon une méthodologie universitaire. Une échéance raisonnable pourrait être le mois de février. Remettez votre plan par e-mail à votre directeur de mémoire qui vous enverra probablement quelques conseils. Organisez ensemble un rendez-vous (téléphonique ou de visu) si vous estimez que cela vous aidera, pour discuter plus précisément des améliorations possibles, des réorientations, ou des axes de travail. Votre directeur de mémoire pourra vous donner des conseils judicieux et/ou formuler quelques critiques. Même si vous êtes très attaché(e) à votre point de vue, parfaitement honorable c’est certain, essayez de tenir compte des remarques de vos enseignants. Sachez enfin que la simple construction du plan en février vous permet de mieux appréhender ce qui vous reste à rechercher et donc les moyens qu’il convient de mettre à votre disposition. En effet, il est plus facile pour vos interlocuteurs de connaître le chemin qu’il vous reste à parcourir à la lecture de ce projet que lors d’une discussion sur le sujet ne permettant pas d’aborder votre axe de recherches. II.4. La rédaction et ses contraintes techniquesC’est la partie la plus fastidieuse! Selon les individus, elle peut prendre plusieurs semaines ou plusieurs mois. Chacun a sa méthode! Un étudiant de 3ème cycle est forcément un adepte de la rédaction rapide, synthétique et claire. Si ce n’est pas votre cas, une discipline de travail s’impose. Prenez votre temps: Mieux vaut rendre un travail que l’on sait avancé et de qualité, après l’échéance, plutôt que de bâcler rapidement une rédaction alors que vos recherches font état d’éléments tout à fait pertinents s’ils sont bien utilisés. Une échéance raisonnable pourrait être le mois de septembre / octobre Mais, évitez d’imaginer que vous consacrerez vos vacances d’été à la rédaction de votre mémoire. Il est relativement difficile d’écrire au bord de la plage… Pour ceux qui nous y autorisent, quelques conseils: Quelques obligations également: · Dater tout événement évoqué (au moins le mois et l’année); · Préciser toute allusion à un événement pas forcément connu du lecteur par un rappel de bas de page: date, rappel, contexte,…; · Individus : donner leurs prénoms - pour les terroristes et les mafieux, leurs “noms de guerre” - et une brève présentation biographique, la première fois qu’ils apparaissent dans votre travail. Un mémoire n’est pas une note administrative : les noms propres et noms de lieux s’écrivent en minuscules : Jean Dupont et non Jean DUPONT; Lille et non pas LILLE. · . Initiales : exprimer leur sens en clair au premier usage (SNCF, la Société, etc...). Les initiales de mots étrangers ne sont en principe pas admises. (On ne dit pas USA, mais Etats-Unis. URSS est passable car il s’agit d’initiales de mots français : Union des Républiques, etc.). · . Devises étrangères : toujours traduites en Euros (1 million de dollars = X Euros 2001). De même, les francs peuvent être utilisés mais il faudra préciser la concordance en Euros. · . Termes étrangers : traduits entre parenthèses, au premier usage. · . Citations : toujours sourcées en bas de page. Si elles sont longues, renvoi en annexe avec appel de note. · . Mots complexes ou ambigus: toujours définis au premier usage. Au niveau du style: . Pas de phrase de plus de 2 lignes, écrivez bref et direct. . Français écrit et parlé sont de nature différente. Interdisez-vous les phrases de dix lignes, hachées de vingt virgules intempestives. Virgules : la novlangue française souffre de virgulite aiguë. On écrit désormais comme on parle : vingt virgules hachent des phrases de cinq lignes sans logique ni souci de syntaxe – ni de l’équilibre ou de l’harmonie du texte. Pire, ces virgules ont chassé tous les autres signes de ponctuation, deux-points (:), points-virgule (;), parenthèses () et tirets (-). Phrase typique : “C’est en fait le FBI qui est à l’origine de cette initiative, la police fédérale ayant été amenée à traiter, dans les années 70, en peu de temps, plusieurs affaires importantes”. 4 <,> en 3 lignes . Or cela s’écrit bien mieux “C’est en fait le FBI qui est à l’origine de cette initiative, la police fédérale ayant été amenée à traiter plusieurs affaires importantes en peu de temps dans les années 70.” Une virgule; une phrase lisible. Une phrase atroce comptant dix virgules en cinq lignes est pénible à lire (donnant une sorte de mal de mer cérébral) et difficile à saisir. Ce puzzle fatigue le lecteur, qui finit par égarer l’essentiel : le fond du texte - votre texte. Ainsi donc rédigez bref, en phrases courtes, lisses, coulant bien, de deux lignes en moyenne, se limitant à deux virgules. Ensuite : . Faites des paragraphes - deux à trois par feuillets, pas plus. . Ecrivez le plus souvent au présent. Passé et futur : usage rare. Fuyez le futur antérieur ! . Les formules imprécises comme “d’importantes sommes d’argent” ou “des contrées immenses” sont proscrites. Ainsi que “tout récemment”, “voici peu”, «l’année dernière» etc., dans un mémoire qui restera à disposition pendant plusieurs années. Votre mémoire n’est pas n’est pas historique, géographique ou ... touristique. Limitez les digressions dans ces domaines : lieux, dates, rappels brefs et précis, puis renvois aux textes spécialisés. Important : choisissez vos exemples et anecdotes dans l’actualité (± 2 ans). II.5. La phase finale des correctionsVotre mémoire est un succès! Vous n’obtenez que des louanges de la part de vos enseignants. Vous avez rendu: Toutefois, quelques fautes d’orthographe, de français ou de syntaxe ont persisté, malgré vous, dans le document final. Quelques passages méritent peut-être une réécriture. Ceci n’a rien d’infamant. Par ailleurs, votre document informatique a été analysé, et comporte également quelques malfaçons: Pas de panique: Sur les conseils de votre directeur de mémoire, vous reprendrez tranquillement les éléments à corriger, avant de délivrer à nouveau le nombre d’exemplaires voulu ainsi que le document informatique. Idem en ce qui concerne le document informatique. Il est probable que quelques conseils vous seront donnés, mais vous comprendrez par avance que notre collègue en charge de l’informatique ne peut s’amuser à corriger toutes les imperfections de tous les mémoires. 3. CONSEILS PRATIQUES
Les mémoires, après corrections et sur proposition de François Haut et Xavier Raufer, sont mis en ligne sur le site du MCC dont l’adresse est: www.drmcc.org. Vous pouvez refuser[1] cette mise en ligne ou proposer une version «light[2]» pour la mise à disposition du grand public. En cas de mise sur en ligne, nuancez les accusations graves que vous pourriez porter contre un individu ou une entité quelconques. Si vous avez des doutes, signalez-nous le passage en cause : nous consulterons un avocat. Pas question d’épargner les malfaiteurs bien sûr - mais souci de profiter des infinies ressources des textes légaux sur la diffamation... Pour plus de cohérence et de facilité technique lors de l’insertion des documents sur le site, il est important que vous respectiez quelques instructions précises dans la réalisation de votre mémoire, notamment sur les points suivants: Tous les mémoires doivent être rendus sous forme papier en format A4 et sous forme informatique (voir III-5). Les pages A4 doivent être reliées par une spirale métallique ou une reliure à la colle[3]. Le travail ne se mesure pas au poids. Les mémoires font en général 80 à 150 pages avec des polices de caractères ordinaires. Vous pouvez également rendre des annexes reliées dans un second document, de façon à dissocier le corps de votre mémoire des documents de référence. Selon la taille de votre travail, les mémoires peuvent être rendus imprimés en recto uniquement ou en recto verso si votre document représente plus de 250 pages. Le document informatique doit être rendu de préférence sous Word. Il est possible de le rendre sur Word Perfect à condition qu’il s’agisse d’une version transformable en HTML. III.2. Choix de la police de caractèreChoisissez une police de caractères d’usage courant : N’utilisez pas toutes les polices de caractères présentant des originalités, peu agréables à la lecture, et qui induiront des difficultés de transcription en HTML: Le confort de lecture est un élément que vous devez intégrer dans votre travail. La taille des caractères de lecture doit être comprise entre 11 et 14 afin de ne pas provoquer de maux de tête à votre directeur de mémoire. La grandeur des titres est à votre discrétion. Les notes en bas de page peuvent être d’une taille inférieure à 11 mais supérieure à 7. Il est inutile d’agrémenter vos titres ou de ponctuer vos paragraphes de divers graphismes dont l’objet, selon vous, est d’aider le lecteur à mieux appréhender le sens de votre propos. Cette intention, parfaitement louable, peut agacer votre lecteur comme votre directeur de mémoire. Bref, la sobriété est de rigueur. III.3. L’insertion d’imagesQuatre types d’objets peuvent être insérés dans votre mémoire: Malheureusement, les objets divers (enregistrements vidéos ou sonores) ne sont pas accessibles pour tous et, surtout, restent totalement inertes sur un document papier. Nous vous demandons donc de ne pas les utiliser, même si vous estimez qu’ils présentent un intérêt essentiel. Il vous appartiendra de trouver un autre moyen de récupération de ces informations pour illustrer votre propos (comme la retranscription en annexe). A – GRAPHIQUES Il est évident qu’il est possible d’insérer des graphiques statistiques dans votre mémoire, notamment depuis Excel. Réalisez votre graphique dans Excel, puis effectuer un copier/coller directement sur votre document Word. Choisissez des types de graphiques simples et lisibles par un lecteur profane : Evitez: B – IMAGES Vous pouvez insérer(*) des images dans votre mémoire si vous estimez qu’elles apportent de l’information au lecteur. (*) Attention: Les images doivent être impérativement être dissociées du texte («Lier au fichier» et non pas «Insérer»). Choisissez de préférence un format: Nous vous recommandons très fortement le format «JPEG» pour des raisons de poids d’images. En effet, le chargement des pages Internet est considérablement ralenti par les images volumineuses. En principe, une image ne doit pas dépasser 200 Ko (sauf intérêt spécifique). Nous vous recommandons de ne pas utiliser le format BMP qui demande beaucoup de place disque. C – DESSINS Si vous le souhaitez, vous pouvez effectuer quelques dessins ou schémas simples sur Word en utilisant la fonction dessin. Ceci nécessite néanmoins quelques précautions: D – LIENS HYPERTEXTE Insérer dans vos documents des liens hyper texte peut être une bonne idée. Exemple: Assurez vous avant d’insérer un lien hyper texte que le site est bien en fonctionnement et le sera dans les mois à venir. Rien de plus désagréable de ne pouvoir obtenir l’information que vous mentionnez comme importante dans vos recherches. Si vous n’êtes pas certain(e) de la pérennité du site, imprimez les pages qui vous intéressent, et annexez les à votre mémoire. Mauvais exemples: L’usage correct des tabulations est essentiel. Mal utilisées, les tabulations rendent anarchique votre document lors de la mise en ligne sur le site du MCC, ou même lors de la plus minime correction de votre part. Dans ce domaine, il y a quelques règles: Pour plus de détails, consultez l’aide en ligne de Word. A - Définition de taquets de tabulation avec des points de suite 1. Sélectionnez le paragraphe dans lequel vous souhaitez insérer des points de suite avant un taquet de tabulation. 2. Dans le menu Format, cliquez sur Tabulations. 3. Dans la zone Position, indiquez l'emplacement de la nouvelle tabulation ou sélectionnez un taquet existant auquel vous souhaitez ajouter des points de suite. 4. Sous Alignement, sélectionnez l'alignement que vous voulez appliquer au texte que vous avez tapé au niveau du taquet de tabulation. 5. Sous Points de suite, cliquez sur l'option correspondant aux points de suite souhaités, puis sur OK. III.5. Rendre son mémoire2 fichiers informatiques et 5 exemplaires reliés de votre mémoire devront être rendus: En ce qui concerne les exemplaires informatiques, nous vous demandons de bien vouloir le rendre sur les supports suivants: 4. UTILISATION DU MODELE SOUS WORD
IV.1. L’organisation du document informatique
Nous avons joint à ce petit livret un document informatique pré-organisé avec un modèle de mémoire pour le cas où vous auriez des difficultés à utiliser le logiciel Word. Ce document est un fichier Word 2000. Pour le cas où votre ordinateur ne supporterait pas la version 2000, le document est également disponible, sur demande, dans des versions: Lors de la création de votre plan, utilisez sur Word le «Mode Plan» qui vous permettra de hiérarchiser votre travail automatiquement, puis de déplacer automatiquement des paragraphes sans avoir à vous soucier de la numérotation des paragraphes. Si vous ne savez pas le faire, utilisez le modèle sous Word qui vous est fourni sur la petite disquette jointe à ce document. Le mode plan ne sert qu’à la création de la structure de votre document. Une fois cette structure déterminée et approuvée, vous pouvez écrire directement dans vos paragraphes en utilisant le «mode page» (pour voir le document tel qu’il apparaîtra au lecteur) ou le «mode affichage normal». IV.3. Utiliser les sommaires automatiquesLa fonction table et index sur Word permet de créer automatiquement une table des matières ou une table d’illustration correspondante à votre plan. Il suffit de cliquer dans «insertion» puis choisir «tables et index». Choisissez l’onglet qui correspond à votre choix et laissez-vous guider. C’est assez simple.
Si vous ne savez pas utiliser cette fonction, elle a été installée sur le modèle sous Word qui vous est fourni sur la petite disquette jointe à ce document. Pour mettre à jour automatiquement votre sommaire, placer vous sur le texte du sommaire, appuyer sur F9 ou clic droit de la souris, et cliquer sur «mettre à jour tous les champs». IV.4. L’index automatiséA - CREER DES ENTREES D'INDEX 1. Effectuez l'une des actions suivantes: 2. Appuyez sur ALT+MAJ+X. 3. Effectuez l'une des actions suivantes: 4. Effectuez l'une des actions suivantes: 5. Pour marquer des entrées d'index
Remarques · La fonction Marquer tout marque, dans chaque paragraphe, la première occurrence du texte concerné en respectant la casse. · Word insère chaque entrée d'index marquée sous la forme d'un champ XE (entrée d'index) au format texte masqué. Si vous ne voyez pas le champ XE, cliquez sur le bouton Afficher/Masquer B - MODIFIER OU METTRE EN FORME DES ENTREES D'INDEX Lorsque vous marquez une entrée d'index, Word insère un champ XE (entrée d'index). Pour modifier une entrée d'index, modifiez le texte du champ. 1. Si les champs XE ne sont pas visibles, cliquez sur Afficher/Masquer dans la barre d'outils Standard. 2. Effectuez l'une des actions suivantes:
Remarque Ne modifiez pas les entrées d'index dans l'index final, sinon vos modifications seront perdues lors de la prochaine compilation de l'index. C - CONCEVOIR ET CREER UN INDEX 1. Marquez les entrées d'index dans votre document. 2. Cliquez à l'endroit où vous voulez insérer l'index final. 3. Pour vous assurer que le document est paginé correctement, vous devez masquer les codes de champ et le texte masqué. Si les champs XE (entrée d'index) sont visibles, cliquez sur Afficher/Masquer dans la barre d'outils Standard. 4. Dans le menu Insertion, cliquez sur Tables et index, puis sur l'onglet Index. 5. Si vous compilez un index pour du texte rédigé dans une autre langue, cliquez sur la langue dans la zone Langue. 6. Effectuez l'une des actions suivantes: 7. Sélectionnez les autres options d'index souhaitées. D - METTRE A JOUR UN INDEX APRES Y AVOIR APPORTE DES MODIFICATIONS 1. Cliquez à gauche de l'index, la table des matières ou toute autre table à mettre à jour. 2. Appuyez sur F9.
Remarque Lorsque vous mettez à jour la totalité d'un index ou d'une table, toute modification de texte ou de mise en forme apportée à la table ou à l'index final est perdue. 5. Conclusion
Bonne chance à tous! N’hésitez pas à demander de l’aide si vous en avez besoin. De manière générale, préférez le mail au téléphone ou programmez un rendez-vous. Nous sommes à votre entière disposition. Toute l’équipe du MCC Hervé Ancel [1] Votre refus n’induit pas que vous pouvez vous dispenser de rendre une version informatique complète de votre travail. Cette version fait partie à part entière de la remise de votre travail. [2] Si vous souhaitez mettre à disposition du grand public, une version informatique light, vous devez alors rendre deux versions informatique: 1 – une version complète et intégrale; 2 – une version édulcorée diffusable. [3] Merci de ne pas faire trop d’économie sur les reliures à la colle, et de vous assurer qu’à la première lecture, les feuillets ne vont pas se dissocier irrémédiablement. En effet, les reliures à la colle sont plus pratiques que les boudinages plastiques, à condition d’être larges et épaisses. |